Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/04/2022

Cinéma au Centre Pompidou-Metz dimanche 24 avril à 15h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, six séances de cinéma associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. Ces films de toutes époques, courts ou longs-métrages, classiques ou rares, tous sortant des sentiers battus, sont des expériences uniques qui suivent la pensée développée dans l’exposition. Projections accompagnées chacune d’une présentation par les associations et par certain.e.s réalisatrices et réalisateurs invité.e.s.

 

4- Élise et Célestin Freinet

 

Les Enfants d’abord, un film de Suzanne Dansereau-Forslund, 1996, 1h25, documentaire

en présence de Suzanne Dansereau-Forslund

Elise et Célestin Freinet, dont on a fêté le centenaire en 1996, ont initié dans les années 1920 un changement radical dans le rapport pédagogique entre l'enseignant et l'élève. Ils ont développé une pédagogie active dans laquelle l’enfant est responsabilisé et ils ont utilisé très tôt des techniques de communication (écrits, sons, cinéma). Aujourd'hui, il y a des classes Freinet dans le monde entier qui communiquent entre elles et visent à former des adultes ouverts au monde et bien dans leur tête. La réalisatrice Suzanne Dansereau-Forslund visite et interroge des enseignants et des enfants de classes Freinet en France, au Québec et en Suède, tout en retraçant quelques fondamentaux de cette pédagogie.

 

freinet.png.crop_display.png

 

Séance présentée par les associations Ciné Art et L’œil à l’écran, discussion avec la réalisatrice, ainsi qu'avec Jean-François Schneider, instituteur ayant pratiqué la pédagogie Freinet et des enseignants de l'Institut Coopératif de l’École Moderne 57.

 

Suzanne Dansereau-Forslund est une réalisatrice québecoise vivant en Suède (Stockholm). Elle viendra spécialement à Metz pour l'occasion de la projection de son film.

 

Tarif : 5 € / gratuit pour les titulaires du Pass M

 

04/04/2022

Cinéma au Centre Pompidou-Metz dimanche 10 avril à15h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, six séances de cinéma associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. Ces films de toutes époques, courts ou longs-métrages, classiques ou rares, tous sortant des sentiers battus, sont des expériences uniques qui suivent la pensée développée dans l’exposition. Projections accompagnées chacune d’une présentation par les associations et par certain.e.s réalisatrices et réalisateurs invité.e.s.

 

3- MONSIEUR DELIGNY

Monsieur Deligny, vagabond efficace, un film de Richard COPANS, 2018, 95 min.

En présence de Richard Copans

 

Fernand Deligny a consacré sa vie à mêler son désir de cinéma et l’accueil d’enfants autistes. Ce documentaire captivant retrace 40 années de son travail exceptionnel où il articule essais cinématographiques et expériences de vie.
Deligny invente des lieux de vie qui permettent aux enfants et adolescents d’échapper à l’enfermement. Il invente un atelier permanent de recherche sur ce qui fait l’humain au-delà du langage. Un documentaire humaniste aussi étonnant qu’essentiel.

 

monsieur-deligny.jpg


Film présenté par les associations Ciné Art et L’œil à l’écran
Introduction et discussion en présence de Richard Copans, réalisateur

 

Richardcopans500.jpg

Richard Copans est un réalisateur documentariste, également producteur (créateur des Films d'Ici) et initiateur de séries documentaires culturelles comme la série Architectures.

 

Tarif : 5 € / gratuit pour les titulaires du Pass M

 

 

 

 

 

17/03/2022

Cinéma au Centre Pompidou-Metz dimanche 27 mars à 15h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, six séances de cinéma associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. Ces films de toutes époques, courts ou longs-métrages, classiques ou rares, tous sortant des sentiers battus, sont des expériences uniques qui suivent la pensée développée dans l’exposition. Projections accompagnées chacune d’une présentation par les associations et par certain.e.s réalisatrices et réalisateurs invité.e.s.



2- L’ÉCOLE DE LA RUE


Le Pain et la Rue, un film d'Abbas Kiarostami, 1970, 10’

Cherchant par tous les moyens à éviter un gros chien qui se trouve sur son chemin, un petit garçon a finalement l’idée de l’amadouer en lui donnant une partie du pain qu’il rapportait à la maison.

Le pain et la rue est le premier film du réalisateur iranien Abbas Kiarostami : on y trouve déjà tout l’univers de ce cinéaste singulier, son goût pour le réalisme, sa poésie, son attachement au monde de l’enfance et sa simplicité dans la manière de raconter des histoires.

pain-et-la-rue-le-01.jpg




Le Petit Fugitif, un film de Morris Engel, Ruth Orkin et Ray Ashley, 1953, 1h20

A New York, une femme élevant seule ses deux enfants Joey (7 ans) et Lenny (12 ans) dans un quartier pauvre de Brooklyn, doit partir jusqu’au lendemain soir pour se rendre au chevet de sa mère malade. Elle confie Joey à Lenny et leur laisse un petite somme d’argent. Mais Lenny et ses copains trouvent Joey un peu trop « collant » et veulent l’éloigner : ils miment un jeu dans lequel Joey croit avoir tué accidentellement son frère avec une carabine factice. Effrayé, l’enfant s’enfuit, récupère un peu d’argent dans l’appartement et prend un train qui le mène à Coney Island où il va se cacher, errer … et profiter de l’immense parc d’attraction qui s’y trouve.

Le petit fugitif se démarque du cinéma américain de l’époque C’est un film improbable car non attendu et trouvant miraculeusement son équilibre dans les pires conditions matérielles : autoproduction très modeste, premier film d’un couple de photographes aidés par un écrivain (Raymond Abrashkin, sous le pseudonyme de Ray Ashley), tourné avec une caméra 35 mm expérimentale, interprété par des acteurs non-professionnels. Il s’en dégage une grande énergie, une belle liberté et tout le film s’insère avec justesse et naturel, de façon quasi-documentaire, dans le New York des années cinquante.

Lion d’Argent au Festival de Venise de 1953

 

LE PETIT FUGITIF 6.jpg


                          Films présentés par les associations Ciné Art et l'Oeil à l'écran

Tarif : 5 € / gratuit pour les titulaires du PASS M