Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/06/2022

Cinéma en plein air au Centre Pompidou-Metz mercredi 29 juin à 22h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz et dans le cadre des rendez-vous culturels de l'été de la Ville de Metz, trois séances de cinéma de plein air, associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. 

 

mercredi 29 juin à 22h30 sur le Parvis du Centre Pompidou-Metz

Entrée libre

L'argent de poche

un film de François Truffaut

(France, 1976, 1h44)

largent-de-poche-copyright-helene-jeanbreau-2.jpg

Ce film lumineux évoque la fin de l’année scolaire à Thiers dans le Puy de Dôme vécue à travers deux classes dont l’une est dirigée par un instituteur bienveillant et progressiste, joué par l’inoubliable Jean-François Stévenin.

« J’ai tourné l’Argent de poche sans vedettes, car la véritable vedette d’un film sur les enfants, c’est l’enfance elle-même... l’ensemble devant illustrer que l’enfance est souvent en danger, mais qu’elle a la grâce et qu’elle a aussi la peau dure. » François Truffaut.

 

media.jpg

François Truffaut (1932-1984) est un cinéaste français, figure majeure de la Nouvelle Vague, aux côtés de Jacques Rivette, Claude Chabrol, Jean-Luc Godard ou Eric Rohmer. Son premier film en 1959, Les 400 coups, à la fois autobiographique et posant les bases d'une nouvelle forme de narration, est un grand succès. Auteur et réalisateur de 26 films, il fut très sensible au monde de l'enfance avec 3 films dans lesquels est abordée la question de l'éducation (Les 400 coups, L'enfant sauvage et L'argent de poche).

 

 

 

 

17/05/2022

Cinéma au Centre Pompidou-Metz dimanche 22 mai à 15h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, six séances de cinéma associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. Ces films de toutes époques, courts ou longs-métrages, classiques ou rares, tous sortant des sentiers battus, sont des expériences uniques qui suivent la pensée développée dans l’exposition. Projections accompagnées chacune d’une présentation par les associations et par certain.e.s réalisatrices et réalisateurs invité.e.s.

 

6 - Voir / Entendre

Cette séance sera traduite simultanément en Langue des Signes par Marie-Françoise Rossi, Présidente de l'association "Conter parler Signer".
 

Deux films :

L'enfant aveugle, un film de Johan van der Keuken (Pays-Bas, documentaire, 1964, 25 min.)

Quelle perception a un enfant aveugle de la réalité ? Johan Van der Keuken a passé deux mois dans un institut spécialisé au Pays-Bas pour approcher ce mystère. L'Enfant aveugle révèle un monde difficile à imaginer : la lutte continue de l'homme sans regard pour rester en contact avec la réalité. Pour rendre compte d'un tel handicap au quotidien, Johan van der Keuken trouve des équivalences formelles, soutenues par une bande son inventive. Une approche sensible qui refuse le pathos et nous reste en mémoire.

 

l-enfant-aveugle-1964-3.jpg

 

 

Le journal d'une jeune femme sourde, un film de Frank Cassenti (France, documentaire, 2020, 65 min.)

Film présenté en vidéo  par le réalisateur Frank Cassenti

 

Atteinte d’une maladie neurologique qui l’a rendue sourde, Lily a fait le deuil de la musique. Jusqu’au jour où elle rencontre Cassandra, jeune plasticienne, qui l’invite à expérimenter la "body bass", une basse électrique à armature métallique qu’elle a conçue et qui prend le corps comme caisse de résonance... Elle participe alors à un atelier hebdomadaire au sein d’un groupe de musiciens entendants. Son désir de musique va grandir et s’épanouir, et sa vie s’en trouvera bouleversée.

 

journal d'une jeune femme sourdebis.jpg

 

les réalisateurs

Johan van der Keuken

Johan van der Keuken naît à Amsterdam en 1938. Il a douze ans quand son grand-père l’initie à la photographie, dix-sept quand il publie son premier album et dix-huit lorsqu'il intègre l’IDHEC à Paris...Van der Keuken bouscule les règles du montage traditionnel... Son cinéma enregistre ce qui l’entoure et le restitue dans le flot des images par le prisme de la pensée. À sa mort en 2001, il laisse une œuvre engagée et universelle, riche d’une cinquantaine de films. (Javier Packer Comyn - Tenk)

Frank Cassenti

En 1968, Frank Cassenti rencontre Chris Marker, Joris Ivens et Marceline Loridan et réalise un premier ciné-tract sur une grève de mineurs dans le Nord. Dans les années 1980, il signe "Archie Shepp - Je suis jazz, c'est ma vie..." En 2005, Frank Cassenti crée avec Samuel Thiebaud la société de production Oléo Films. Il est le créateur du festival ''Jazz à Porquerolles''. (Tenk)

 

Films présentés par les associations Ciné Art et L’œil à l’écran

Tarif : 5 € / gratuit pour les titulaires du Pass M

 

 

 

 

09/05/2022

Cinéma au Centre Pompidou-Metz dimanche 15 mai à 15h30

Les associations Ciné-Art et L’œil à l'écran proposent, en partenariat avec le Centre Pompidou-Metz, six séances de cinéma associées à l'exposition L'art d'apprendre. Une école des créateurs. Ces films de toutes époques, courts ou longs-métrages, classiques ou rares, tous sortant des sentiers battus, sont des expériences uniques qui suivent la pensée développée dans l’exposition. Projections accompagnées chacune d’une présentation par les associations et par certain.e.s réalisatrices et réalisateurs invité.e.s.

 

5- Utopies?

 

Jonas qui aura 25 ans en l'an 2000, un film d'Alain Tanner (Suisse, 1976, 110 min.)

avec Rufus, Miou-Miou, Jacques Denis, Myriam Boyer, Jean-Luc Bideau, Raymond Bussières, Roger Jendly, Dominique Labourier, Myriam Mézières.

En 1976, à Genève, portrait d'un groupe de personnages ayant entre 20 et 30 ans. Fermiers, ouvriers, caissières, chômeurs se croisent et évoquent leurs espoirs et désillusions. « On pourrait dire en sous-titre : comment sortir du XXe siècle. Car il s’agit d’un film ouvert, d’un film sur les espoirs, ceux qui correspondent à un désir profond de changement et qui ont trouvé leur expression sur le devant de la scène en 1968. Changer le monde, disait Marx. Changer la vie, disait Rimbaud. Le monde étant ce qu’il est, écrasé par les institutions, la charnière de 1968 représente un recul du politique – une méfiance grandissante envers ceux qui proclament changer le monde – doublé d’un désir toujours plus vivace de vouloir changer sa vie. » (Alain Tanner)

Un film libre, juste, joué par des acteurs magnifiques, et d’une actualité saisissante.

 

jonas03.jpg

jonas02.jpg

 

Film présenté par les associations Ciné Art et L’œil à l’écran

Tarif : 5 € / gratuit pour les titulaires du Pass M